Journal de France

Paroles libres de français

Face au pass sanitaire, la liberté est entre nos mains

liberté

Mesdames, messieurs,

C'est terminé. Jusqu'au bout, nous avions pu garder une infime dose d'espoir qu'une institution quelconque allait s'opposer à la folie vaccinale et à la folie du pass sanitaire. Mais toutes, les unes après les autres, ont avalisé cette ignominie.

Le Sénat, dirigé par le ventripotent Gérard Larcher, s'est couché.
Le Conseil d'État, dont le rôle est de conseiller le Gouvernement pour la préparation des projets de loi, s'est très naturellement couché.
Et le Conseil constitutionnel, dont le président n'est autre que le veule Laurent Fabius, ancien socialiste, vient de sceller notre sort.

Conseil constitutionnel Laurent Fabius et Alain Juppé

Commençons, si vous le voulez bien, par un petit inventaire :

Laurent Fabius a été nommé à ce poste par François Hollande. Son fils Victor est directeur associé chez McKinsey France, qui conseille le gouvernement Macron sur sa stratégie vaccinale.
Au Conseil Constitutionnel, on trouve aussi ce bon vieux Alain Juppé, l'homme amer, qui a raté les primaires des Républicains en 2016. Alain Juppé, Républicain, donc, a été nommé au Conseil constitutionnel par Emmanuel Macron, sur recommandation de Monsieur Richard Ferrand, président de l'Assemblée nationale, et ancien socialiste ayant trahi son camp pour rejoindre LREM.
Le Conseil Constitutionnel, pour rappel, est chargé de vérifier que les lois soient conformes à la Constitution.
C'est-à-dire que les gens dont le rôle est d'être le garant de la Constitution et le garde-fou de l'État doivent leur position aux chefs de cet État. N'y a-t-il pas là un léger problème institutionnel ?

Mais à qui sommes-nous en train de confier notre santé ?

Le désastre Macron

À un président qui passe son temps à nous insulter, souvent depuis l'étranger, qui le faisait déjà du temps où il n'était pas élu ? Dois-je vous rappeler les « infirmières illettrées », les « gaulois réfractaires », les « gens qui ne sont rien » ? Et cet homme-là se serait soudain pris de compassion pour ce même peuple qu'il a tant insulté en nous souhaitant maintenant le plus grand bien dans le meilleur des mondes et en se faisant le garant acharné de notre santé ?
Cet homme à qui l'on doit la fameuse loi Travail qui a aggravé notre précarité ? Celui-là même, à cause de qui des gens désespérés, ruinés, ignorés, sont sortis dans la rue pendant un an demi et qui ne s'est jamais excusé d'en avoir éborgné et mutilé des centaines ?

Est-il si vertueux, cet homme qui veut nous vacciner de force ? Jusqu'à pousser les employeurs à licencier leurs employés ? Jusqu'à nous interdire l'accès au lieu de vie, aux cafés, aux restaurants et… à l'hôpital ? Jusqu'à considérer ouvertement nos mobilisations comme « irrationnelles, cyniques, manipulatrices » ? (source)

Mais parlons de cynisme et de manipulation, Monsieur le Président, et avec joie, même !

En 2017, le professeur Adriano Segatori, psychiatre et psychothérapeute italien, établissait que vous avez la structure mentale d'un psychopathe (1, 2) ; avec un « sentiment d'omnipotence » et un « narcissisme qu'il n'est pas interdit de définir comme malveillant »  ; chose que nous avons eu tout le loisir de constater depuis.
En outre, à la même période, votre ancien directeur à la banque Rothschild, Monsieur François Henrot, relevait que vous êtes parfaitement initié aux techniques de manipulation de l'opinion qui consistent à raconter de belles histoires pour convaincre.
Et Alain Mincq, qui justement vous a recommandé à la banque Rothschild disait très bien que vous êtes « intelligent, souple, rapide et charmant » – « toutes les qualités nécessaires pour faire un bon banquier d'affaire qui est », je cite toujours Alain Mincq : « quand même un métier de pute. » (1, 2)

Voilà pour le cynisme et la manipulation. Passons à la rationalité.

Ce qui est rationnel, c'est que les vaccins qui nous sont proposés sont principalement fournis par le laboratoire Pfizer. Or, Macron les connaît de longue date puisqu'il a participé au rachat d'une branche de Pfizer par Nestlé en 2012 (source) : un deal à 11 milliards de dollars. (source) Vous voyez, Monsieur le Président, je vous complimente ; ah, c'est sûr, lorsqu'il s'agit de vendre, vous êtes assurément très fort.

Le laboratoire Pfizer, justement, est détenteur de l'heureux record de la plus colossale amende du monde. 2.3 milliards de dollars pour pratiques commerciales frauduleuses. Pratiques commerciales, mais est-ce qu'on parle encore de santé ou d'électroménager ?

Et voilà pourquoi nous avons raison de n'avoir absolument aucune confiance.

Non, nous ne sommes pas bêtement « antivax », comme se plaisent à le résumer les médias pour nous faire passer pour des simples d'esprit, eux qui prennent soin de relever et d'insister sur le fait que c'est principalement parmi les classes populaires qu'on se soulève ; exemple flagrant d'un formidable mépris de classe. Il se trouve seulement que les temps ont changé, et que, paradoxalement, j'aurais pour ma part plus confiance en un vaccin élaboré dans les années 70 que maintenant. Un vaccin classique à virus inactivé au lieu d'un vaccin ARN expérimental dont Dupond-Moretti, notre ministre de la justice, ne voulait pas pour les détenus de prisons, clamant, avant que de faire machine arrière, que ce ne sont pas des cobayes. Dupond-Moretti serait-il conspirationniste ? ou valons-nous moins que des criminels ?

J'aurais préféré un vaccin du temps d'avant le mondialisme, d'avant le libre-échange ; avant que les laboratoires ne se transforment en industrie qui brasse des milliards de dollars et alors que les médicaments n'étaient pas de simples produits à écouler auprès de consommateurs. Il est où l'esprit de Monsieur Pasteur, ici ? Serait-il d'accord avec ce qui se passe de nos jours ?

Quant à Macron, j'entends encore cette petite phrase, lors de son allocution du 12 juillet : « 9 millions de vaccins vous attendent. » Mes oreilles ont entendu la suite du message : « Tout doit disparaître. » Macron, premier VRP de Pfizer. N'oublions pas que, le même soir, ce diablotin aux dents pointues a annoncé l'air de rien une nouvelle casse des retraites et de l'assurance-chômage.

Cela signifie que le même homme qui nous disait avec suffisance que si on veut trouver du travail il suffit de traverser la rue, et qui ensuite nous a confiné pendant des mois, veut maintenant nous sanctionner d'avoir subi les conséquences de ses décisions.

Mais que faut-il à ce pays pour entrer en révolution ?

Il paraît que nous ne sommes pas en dictature. Seulement cela commence à devenir si peu évident qu'il faut que les membres du gouvernement nous le rappellent régulièrement pour qu'on en soit bien sûrs. Il paraît que nous sommes encore en démocratie : du grec dēmokratía ; le pouvoir du peuple ; la voix du peuple.

Où est le peuple dans cette histoire ? Où est le peuple lorsqu'un gouvernement népotique, soutenu par seulement 3% du corps électoral aux dernières élections, se permet de décider qu'on doit tous se faire piquer pour ne pas devenir des citoyens de seconde zone, qui n'auront plus droit qu'au métro pour aller au boulot ? Des esclaves, en somme. (métro qui, soi-dit en passant, sera bondé et pas contrôlé ; alors je demande : si le Covid n'est pas dans cet endroit-là comment peut-il se trouver dans un cinéma ? C'est peut-être qu'il n'y est plus du tout, ni dans l'un ni dans l'autre)

On nous avait juré que les ennemis de la démocratie étaient aux extrêmes, RN et LFI ; mais ceux qui sont en train de lui tirer une balle, à la démocratie, sont tous d'anciens socialistes, républicains, centristes ; traîtres à leur parti, traîtres à leur pays. Face à un ennemi commun, j'ose espérer que les deux adversaires séculiers sauront mettre leurs différends de côté ; l'enjeu est trop important, il en va de notre liberté.

Nos revendications sont simples, et je suis sûr que nos politiciens, même s'ils ont tendance à avoir la tête dure et les oreilles bouchées, sont en capacité intellectuelle de les comprendre.

Retrait pur et simple du pass sanitaire. Que ceux qui veulent se faire vacciner le fassent ; que ceux qui veulent se préserver le puissent ; et que tout licenciement d'un employé pour cause de non-vaccination soit considéré comme abusif.

Je déplore, en effet, qu'on ait vu trop d'employeurs faire la démonstration d'un zèle de kapo, en ne se basant que sur l'annonce du président, alors même que la loi, elle, n'était pas votée.

Vous avez sans doute pu entendre, ici et là, certaines personnes se réjouir de voir que les tests PCR, bientôt, ne seront plus remboursés, et rappeler insidieusement que, en société, on a des droits et des devoirs, qu'on ne peut pas prétendre avoir les mêmes droits que tout le monde si on refuse certains devoirs, ce qui inclut bien évidemment celui de se vacciner ; qu'on serait des égoïstes, des séditieux.

Le sentiment de culpabilité est une arme très puissante. La médiacratie fait tout ce qu'elle peut pour vous y pousser, et le lavage de cerveau façon Orange Mécanique dont ils se rendent coupable peut pousser votre voisin à vous faire les mêmes reproches qu'entendus partout.

Mais ne vous excusez jamais de vouloir protéger votre intégrité physique, ne vous excusez jamais face au mépris et à la violence des crédules qui se donnent l'air intelligents alors qu'ils ne font que recracher les discours entendus à la télé et qui font la démonstration de leur méchanceté lorsqu'ils nous souhaitent d'atterrir à l'hôpital ou encore d'être refusés à l'entrée de ceux-ci.

Ils disent qu'ils ne voient pas pourquoi ils pairaient pour nous SI nous tombons malade ; mais nous payons déjà pour eux et leurs vaccins gratuits, et nous ne faisons pas de chichis ; c'est ça la solidarité, la vraie.

Le problème c'est que nous voyons trop clair. Le combat va au-delà du seul pass sanitaire car nous voyons trop combien les mesures prises pour lutter contre le Covid ont fait plus de dégâts que le Covid lui-même. Des gens rendus fous de désespoir, malades à force d'être enfermés seuls chez eux, ruinés par le confinement dans lequel Macron menace de nous replonger encore. Nos enfants grandissent avec des masques sur le nez, ils ne voient plus le visage de leurs camarades ni de leurs professeurs. On les menace maintenant de les ostraciser. Et certains ne perçoivent toujours pas la violence de ce système ? Mais ont-ils un cœur et des yeux, ces gens-là, où seulement une antenne relais et des statistiques dans le cerveau ?

Dites-vous le bien une fois pour toutes : une dictature, ce n'est plus le bruit des bottes ; ce n'est plus l'armée dans les rues ni les dissidents jetés en prison. Ça, on l'a tous vu mille fois à la télévision, au cinéma, on l'a vu dans les documentaires et lu dans les livres. On saurait le reconnaître en une fraction de seconde sans même l'avoir vécu.

Les temps ont changé, les technologies ont changé, le système a donc évolué en conséquence. Il fait de la communication, il nous monte les uns contre les autres : provax, antivax ; propass, antipass ; patrons, employés ; flics, manifestants ; seulement nous participons tous le nourrir, ce système ; à gaver ces énarques qui engraissent de notre sève vitale, de la sueur de notre front et de nos nuits d'insomnie. Nous leur donnons notre argent et eux le gaspillent. Le milieu hospitalier était déjà exsangue longtemps avant la pandémie ; des places de réanimation ont été retirées en pleine crise – ce qui leur permet de parler pourcentage pour nous faire peur. Quand il ne restera plus qu'un lit en réanimation sur Paris et que celui-ci sera pris, ils pourront dire « 100% des lits sont occupés, il faut confiner. »

Aujourd'hui, quand le peuple n'est pas content d'être saigné à blanc, le gouvernement et les médias disent qu'il faut plus de pédagogie. Quelle insulte… La pédagogie, je vous le rappelle, c'est l'éducation des enfants. Voilà comme nous sommes considérés.

Nos arguments, nos revendications, notre colère légitime… tout balayé, écarté par ce fameux « j'assume » que dans leur bouche je ne supporte plus, parce qu'il ne veut pas dire autre chose que : « je vous emmerde. »

Et bien moi j'assume de dire que la démocratie est morte.

Un gouvernement qui gouverne sans le peuple, ce n'est plus la démocratie. Nous sommes dans une nouvelle forme de dictature, bien plus sournoise, bien plus insidieuse que tout ce que l'histoire a pu nous montrer.

Une dictature 2.0 qui se sert de tous les outils de la modernité à sa disposition. On nous abreuve d'informations contradictoires pour mieux nous égarer. Hier, le Covid était sorti du cul d'un pangolin, aujourd'hui on examine la piste d'une erreur de laboratoire, ce que les « complotistes » ont suspecté dès le départ. Hier, le pass sanitaire était un délire de complotiste, aujourd'hui il est une réalité.

De grands virologues, épidémiologistes, prix Nobel de médecine... nous alertent sur le fait que c'est une hérésie de vacciner tout le monde en ARNm. Quand l'un d'entre-eux parvient à s'immiscer sur un plateau télé, on sent bien, à la gêne des journalistes, que c'est une erreur de casting. Et alors, tout professionnels qu'ils soient, ils sont eux aussi traités de complotistes par des journalistes qui n'y connaissent rien, par des politiciens qui ne sont rien et par des médecins qui ont posé leurs tentes sur les plateaux de télévision plutôt que de faire leur métier.

J'ai, pour ma part, bien plus confiance en ceux qui ont tout à perdre en voulant nous prévenir qu'en ceux qui campent sur les plateaux télé pour nous faire mouiller de trouille face à un variant Delta dont on peut se soigner au doliprane.

Les médecins sont des hommes, eux aussi ; et un homme, ça s'achète.

Je vous rappelle qu'entre les années 30 et 60, les médecins faisaient de la publicité et vantaient les mérites de la Marlboro. Asthme, bronchite, fièvre des foins, grippe, souffle court… La cigarette de joie est votre remède ! (1) Ce slogan a vraiment existé.

Vaccinez-vous, mes amis, et ne tenez pas compte du fait que, il y a quelques jours, on a relevé que les fact-checkers de Facebook ont été payés par des compagnies pharmaceutiques. Mais oui, les fact-checkers, ceux prétendent nous aider à distinguer le vrai du faux.

Et surtout, ne relevez pas le fait que Pfizer a déjà été pris la main dans le sac en versant des commissions faramineuses à des médecins et politiciens ; que Pfizer a fait de la promotion pour des médicaments qui ont ensuite été retirés du marché à cause d'effets secondaires. (Bextra) ; que Pfizer a été poursuivi pour « pratiques commerciales abusives ».

Et vous voulez qu'on ait confiance ? Vous voulez vraiment qu'on y aille les yeux fermés en disant amen ?

Qu'est-ce qu'il y a dans ce foutu vaccin qu'ils veulent à tout prix nous injecter ? Qu'est-ce qu'il y a vraiment pour qu'ils insistent tant alors qu'on sait qu'il est insuffisant face à un virus qui mute de toute façon, que les pays les plus zélés sur la vaccination constatent son inefficacité et qu'il faut déjà un 3e rappel ?

3e piqûre pour les vaccinés de la première heure, sans doute bientôt 4. Mais, dites-moi, c'est un vaccin ou de l'héroïne qu'ils nous injectent ?

pass sanitaire crédit social chinois

Face au Covid, tout ce qui aurait pu nous soigner nous a été refusé. On a préféré mimer le dictateur Xi Jinping, puisque c'est lui qui a confiné le premier. On nous a enfermé en séparant les familles, en plongeant les étudiants et les anciens isolés dans une détresse folle. La solitude – et la dépression qu'elle engendre – nous affaiblissent plus sûrement et plus durablement que ne le fera jamais une simple grippe ; grippe qui faisait déjà des milliers de morts, et sur laquelle on ne communiquait pas tant.

En nous confinant, ils ont voulu nous amollir, abîmer nos défenses immunitaires naturelles qui sont nos meilleures alliées ; nous avons besoin de soleil par lequel on synthétise la vitamine D ; nous avons besoin de mouvement pour rester en forme et tonique ; nous avons besoin de bonnes poignées de main ; nous avons besoin de prendre dans les bras ceux qu'on aime.

Mais tout ça est outrageusement gratuit, et un individu en bonne santé physique et mentale – donc moins stressé – ne consomme pas, et pire encore, il peut se mettre à réfléchir.

Faut-il à la fois manquer de cœur et d'esprit pour ne pas voir la malveillance qui se cache derrière chacune des mesures qui sont prises, soi-disant pour nous protéger, et les dégâts considérables causés par ces mêmes mesures ?

Et s'il vous arrive un moment de faiblesse ou de doute, ne croyez pas que cela s'arrêtera si vous vous résignez à accepter le vaccin et le pass sanitaire.

« Dieu nous donne un nom, Satan un numéro. » (1)

Souvenez-vous, entre autres, de Stéphan Guérini, traître socialiste devenu Délégué général de La République en marche, qui disait : « Il faut imaginer que le #PassSanitaire puisse devenir un outil permanent dans notre vie quotidienne. » et le même cuistre d'ajouter juste ensuite qu'il « croit que c'est un outil de liberté. » (source) Faut-il être né avant la honte ?...

Déjà, en certains endroits, on installe des bornes automatiques de contrôle du pass sanitaire. (source) Croyez-vous que de si coûteuses bestioles seraient installées si c'est pour être enlevées dans 6 mois ? Non, elles sont là pour rester ; comme les caisses automatiques. On vous prépare le Nouveau Monde, tant vanté par les puissants. Si vous l'acceptez, vous y resterez.

Contrôlés – littéralement – par des machines, et réduits à un QR code ; ce même QR code qui apparaît aussi, quel heureux hasard, sur les nouvelles cartes d'identité.

Pour information : les QR codes sont gérés par une société nommée Atos, dont Monsieur Thierry Breton, aujourd'hui commissaire européen, fut le PDG de 2009 à 2019. Et devinez qui est devenu administrateur de cette société ? Ce bon vieil Édouard Philippe. Décidément, le monde est petit.

Et Thierry Breton, soi dit en passant, a joué une part dans la mise en place des radars automatiques sur les routes. Parce qu'une dictature du contrôle, ça ne se fait pas du jour au lendemain, c'est une alchimie ; ça se distille ; petit à petit, goutte à goutte pour qu'on n'y capte rien.

Il y aurait beaucoup à dire sur le sujet, mais mon texte est déjà bien long alors même que je n'ai pas couvert le dixième de ce qu'il y a à relever. Il faudrait, notamment, regarder du côté de l'Union européenne et de Madame Ursula Van der Leyen, Présidente de la Commission européenne, ainsi que de son mari Heiko Echter, directeur médical chez Orgenesis Inc. : une société biopharmaceutique qui développe, fabrique et transforme des technologies et des services dans le domaine de la thérapie génique.

Toute cette histoire est tordue jusqu'à la racine.

Parlant de racine, voici un petit détail qui a son importance. Les gens ayant de plus en plus recours à la phytothérapie pour se soigner efficacement et sans risque, les bureaucrates de l'UE, par une subtilité législative toute kafkaïenne, envisagent d'aboutir au classement des huiles essentielles de lavande, thym et romarin comme toxique avec pour conséquence la mort des producteurs de ces huiles. Ben oui, c'est embêtant, on se soigne avec des plantes naturelles qui n'ont pas d'effets secondaires et qu'on peut trouver ailleurs qu'en pharmacie. Quel outrage ! Quel manque à gagner !

Oh, on vous dira de ne pas vous inquiéter, que c'est plus compliqué que ça, et que de toute façon, ce n'est pas avant 2022 ou 2025. (1)

Pour conclure, je voudrais simplement dire ceci :

Mon premier réflexe, face à la décision du Conseil Constitutionnel, fut la colère. C'était la dernière porte de sortie, la dernière chance qui nous était donnée, et ils nous l'ont claquée au nez.

J'ai eu, le temps d'une soirée, des envies de Bastille.

Mais la colère, nous le savons tous, n'est pas bonne conseillère. Et Macron, en tant qu'ancien employé de banque très bien formé, est parfaitement roué aux techniques de manipulation de l'opinion (François HENROT) et il se peut que la colère soit précisément ce qu'il attend de nous.

Vous voulez vous opposer à ce gouvernement injuste, sournois et menteur ? vous voulez aller le chercher à Brégançon ou à l'Élysée, lui et tous ses sbires ? Je l'ai voulu aussi, je ne le veux plus. Parce qu'en réalité, ce n'est pas nécessaire.

Les dictatures ne sont pas faites par ceux qui commandent, mais par ceux qui leur obéissent ; des gens normaux qui estiment qu'ils font simplement leur devoir. Notre devoir, précisément, est de réaliser que nos gouvernants n'ont de pouvoir que celui qu'on veut bien leur accorder. Il suffit de le leur retirer. Il suffit de rejeter les lois, de ne pas les appliquer, de faire comme si elles n'existaient pas. Quelle valeur peut avoir une loi votée par effraction à 5h du matin en plein mois de juillet avec à peine 30% des députés présents dans l'hémicycle ? Aucune. Ce n'est pas la démocratie, ça ; c'est un simulacre de démocratie. (1) Ils gouvernent comme des voleurs, en pleine nuit et quand le peuple n'est pas là.

Entre ce gouvernement et nous, le contrat social est rompu. Ils nous ignorent, ils ont ignoré 1 an et demi de gilets jaunes, ignorons-les de retour. Ce ne sont que des hommes ; et même moins que des hommes, puisqu'ils n'ont plus l'essentiel de ce qui fait la respectabilité d'un individu : la dignité, l'honneur, la compassion, et le sens de la parole donnée.

Ma France éternelle n'est pas à Paris

Ici, c'est pas Paris ; ici, c'est pas la ville poubelle où on trouve des déchets dans la rue et dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale. Ici, c'est la France.

Nous ne vivrons pas en nous opposant à ces rats qui peuvent se planquer derrière une rangée de CRS disciplinés (et pas vaccinés, d'ailleurs). Nous vivrons libres, en bonne santé, et sans eux.

À la poubelle les muselières.

À la poubelle leurs tests PCR.

Au diable leur pass sanitaire

Tous ces instruments de maltraitance sociale ne servent qu'à nous soumettre. L'homme s'habitue à tout. C'est sa grande force et en même temps sa plus grande faiblesse, puisque pouvant s'habituer à tout, on peut aussi s'habituer au pire.

On peut s'habituer à être enfermé chez soi ; on peut s'habituer à être contrôlé en permanence ou à contrôler soi-même ; on peut s'habituer à présenter patte blanche pour aller se chercher un café ou pour simplement dîner en amoureux ; on peut s'habituer à suspecter son voisin qui éternue, parce que la peur aura été instillée dans notre esprit comme un venin. À force d'épuisement, d'insultes, de mépris, on peut finir par renoncer, et par se dire, « après tout pourquoi pas ?... »

Il est là leur Nouveau Monde promis depuis si longtemps. Il est là et il sent mauvais ; il a des relents d'un vieux cauchemar entre science-fiction et dystopie.

pass sanitaire, pouvoir au peuple

Alors nous devons être unis et intransigeants. Nous devons nous soutenir les uns les autres et vivre en bonne intelligence. Un pass sanitaire, ça peut ne pas se demander, ça peut s'oublier. Aux chauffeurs de bus, aux gérants des cafés, restaurants et cinémas de laisser rentrer les gens normalement. Vous avez peur des policiers qui viendraient vous contrôler ? Messieurs les policiers peuvent bien parfois fermer les yeux, ils toucheront quand même leur salaire. Rappelez-vous toujours – et je le répète encore – que les dictatures sont soutenues par des gens normaux qui estiment qu'ils ne font que leur travail ; chacun individu devient le rouage d'une machine complexe qui lui permet de se défausser de tout sentiment de responsabilité morale. Refusons de jouer ce rôle sinistre ; nous valons mieux que ça.

Le pass sanitaire conçu pour soumettre le peuple ne peut survivre que par le peuple. Le seul pouvoir qu'à Macron de le faire appliquer, c'est nous-même. Réservons-lui le sort qu'il mérite : l'oubli. Et la farce s'arrêtera d'elle-même.

Et pour finir : Qui contrôle sera contrôlé.

Face à ceux qui s'aviseraient de vouloir nous dénoncer, de jouer la partie du côté du fou qui nous gouverne et des parvenus qui le soutiennent ; je me dis que, dans notre malheur nous avons une chance incroyable. Depuis tout jeune, je me pose une question et je suis sûr que vous vous l'êtes posée aussi ; je me demandais quel rôle j'aurais pu jouer du temps de l'Occupation, face à un ennemi puissant qui a l'autorité et les institutions avec lui ; et face au pouvoir médiatique qui, déjà, insultait les résistants, désignait une série de boucs émissaires à abattre, traitait le Général de Gaulle de factieux et parlait de vivre en bonne entente avec « l'ami allemand ».

Maintenant j'ai la réponse. Maintenant je sais quel rôle j'aurais joué et vous aussi vous le savez.

le 6 août 2021 par TellurixTellurix