Journal de France

Paroles libres de français

Où nous mène la dictature sanitaire ?

Le pass sanitaire et l'obligation vaccinale pourraient-ils n'être que les prémices d'un projet de plus grande ambition ? La société n'est-elle pas encore une fois sur le point de basculer ? Quel futur nous est réservé ? La réponse, il se pourrait bien que nous l'ayons sous la main ; elle nous a été dite... en 1979.

dictature sanitaire vaccins

Il faut écouter les gens ; ce qu'ils peuvent dire est parfois très intéressant.

Et c'est en écoutant plusieurs extraits d'allocutions de Jacques Attali (1, 2), l'accompagnateur de presque tous les présidents de la 5e République, que, dans mon esprit, les pièces du puzzle se sont assemblées parfaitement en se recoupant avec ce que je savais déjà.

Deux extraits datent de 1979, le troisième est visiblement un live récent. Sur ce live, Jacques Attali exprime sa pensée crue, une pensée qui est à l'évidence dans la parfaite continuité de ce qu'il exprimait déjà en 1979 sur le plateau de Parlons de médecine présentée par Jean Paul Escande, puis de Temps X, par un Bogdanov ; elle traduit une obsession continue pour le concept de l'homme-machine.

L’utopie d’Attali : retranscription de ses prises de parole :

Malgré ces retranscriptions, je ne saurai trop vous encourager à aller visionner vous-même les extraits en question (1, 2, 3) avant d'en revenir à cet article.

En 1979, sur Parlons Médecine :

Qu'est-ce que c'est cette société de machines qui nous apprend à nous surveiller nous-mêmes ? C'est une société qui dit : « soyez libres, débarrassez-vous du médecin, soignez-vous vous-mêmes. Sortez de l'hôpital. » – ce que dit Illich ! (Ivan Illich : penseur de l'écologie politique et figure importante de la critique de la société industrielle)

Et autrement dit, elle va, sous prétexte de liberté, sous prétexte d'autonomie, créer les conditions de l'aliénation la plus formidable, qui est en quelque sorte l'aliénation par soi-même, volontaire, à une norme imposée de l'extérieur.

On nous dira : « il ne faut pas fumer, pas conduire, pas boire », mais aussi «  pas avoir tel gène dans sa structure héréditaire. Si vous l'avez, vous êtes extérieur à la norme ; faites tout ce que vous pouvez pour vous en débarrasser. »

Et, autrement dit, on fera que – ce qui est la forme absolue de la dictature – que chacun d'entre-nous ait, librement, entre guillemets, envie d'être conforme à la norme ; que chacun d'entre-nous ait, librement, entre guillemets, envie de se comporter comme un esclave. Et ce qui est la forme absolue de la dictature, puisqu'on fera que chacun d'entre-nous aura envie d'imiter un modèle, une copie, une sorte d'idéal standardisé qu'on nous imposera de l'extérieur. Et ce qui est fascinant c'est que c'est à travers la médecine, à travers le bien et le mal, à travers le rapport à la mort que cette nouvelle forme de société totalitaire est en train de s'installer.

En 1979, sur Temps X

— Jacques Attali, nous vous avons invité à Temps X, et merci d'être venu, parce que nous avons été frappés par le parallèle évident qui existe entre votre livre, L'Ordre Cannibale, et la science-fiction ; et ceci particulièrement à travers la stupéfiante description que vous faites ; ce que vous appelez : « les systèmes d'auto-surveillance du corps et de la santé qui font selon vous glisser de plus en plus l'image de l'homme vers ce que vous appelez : « l'ordre des machines. »
— De plus en plus, l'homme sera en situation d'acheter des copies de lui-même, des organes artificiels, des machines qui lui permettront, et de se soigner, et de remplacer des parties de son corps. Et les fantasmes absolus de la science-fiction sont en train de se réaliser. Nous aurons très très bientôt des machines qui permettront à chacun d'entre-nous de surveiller sa tension artérielle, sa tension cardiaque, son état d'esprit, son niveau d'équilibre mental, sans aller – demain, et certainement après-demain, jusqu'à des remplacements du corps, lui-même ; pancréas artificiel, prothèses de toutes natures, organes artificiels de toutes natures qui sont en voie de se constituer, qui font de l'homme une sorte d'objet de consommation pour l'homme lui-même comme l'est aujourd'hui l''automobile ou la télévision. L'homme achètera l'homme lui-même comme il achète tout autre chose aujourd'hui.
— Alors si je comprends bien, vous croyez à la veille prédiction des auteurs de science-fiction : le cyborg. Un homme, au fond, qui pourrait s'allier à la machine pour perpétuer sa propre durée.
— D'une certaine façon, oui : l'homme sera en situation de se surveiller  lui-même en permanence pour créer une sorte d'humanité absolue où la mort aura complètement changé de sens, où la vie aura changé de sens, et où l'homme sera de plus en plus normalisé comme une machine peut l'être.

En 2020 ou 2021 sur un live perso

Sans doute bien des choses doivent être changées. Faut-il changer le code génétique ? Peut-être aussi, pour faire en sorte que nous allions mieux, en étant un être humain un peu plus responsable, un peu plus compassionnel, un peu plus empathique. Peut-être faut-il toucher à ça, peut-être ne faut-il pas toucher à ça.

Changer de code, ça renvoie à ce qui doit être invariant dans l'homme, et ce qui ne doit pas l'être. Au fond, qu'est-ce qui doit être invariant ? Qu'est-ce qui doit rester propre de l'homme ? Qu'est-ce qui est ce à quoi on a le droit de toucher ? Quand on regarde l'histoire de l'humanité, on se rend compte que l'humanité touche à tout, y compris à lui-même. Et que l'histoire de l'humanité – j'ai essayé de le démontrer de livre en livre – c'est une lente traduction de l'être vivant en un objet, en un artefact. Progressivement, nous sommes complétés par des prothèses, et puis les prothèses viennent en nous et nous devenons progressivement nous-mêmes, sans doute sans même nous en rendre compte vraiment, des prothèses.

le projet d'Attali

Monsieur Attali parle d'empathie ; eh bien en tant qu'être empathique, je ne crois pas qu'on puisse sortir de plusieurs minutes d'écoute de sa personne sans un profond sentiment de malaise ; l'énergie qu'il dégage, couplée à ses propos, nous mènent aisément au seuil de l'angoisse.

Il soulève des questions philosophiques qu'il serait tout à fait intéressant de développer pour mieux contrecarrer sa pensée qui, sous couvert d'une bienveillance feinte ou sincère est, j'en suis convaincu, totalement délétère (l'enfer est pavé de bonnes intentions).

Dans cet article, nous nous concentrerons sur l'immédiat ; ce qui nous touche présentement : le Covid, le pass sanitaire, et les mesures coercitives prises par le gouvernement à l'encontre de son peuple.

En recoupant ce dit Jacques Attali avec les circonstances actuelles et avec ce que je savais déjà, j'ai pu alors entrevoir l'avenir qui se dessine devant nous ; du moins l'avenir tel qu'il semble avoir été préparé par d'autres ; car vous vous doutez bien que cet homme, tout influent qu'il soit, n'est pas seul.

Comme il est assurément bien tôt pour vous exposer l'analyse qui suit, je vais assurément passer pour un complotiste forcené, mais ça ne fait rien. Considérez ce texte comme un essai ; un exercice intellectuel de prévision. Peut-être y trouverez-vous vous-même à réfléchir et en tirerez-vous vos propres conclusions. C'est le but.

Les vaccins ARN et ce qu'ils impliquent

Je pense que le vaccin ARN est un premier test pour voir qui est prêt à accepter l'idée de tendre vers l'homme augmenté, l'homme-machine, et qui veut rester naturel.

Il s'agit après tout de modifier le code génétique pour répondre à la menace largement montée en épingle que représente le coronavirus. Rien à voir avec les vaccins de ce bon Monsieur Pasteur.

Les réactions extrêmement virulentes, et les formules violentes des pros-vaccin (1) qui se targuent pourtant d'être les plus rationnels me fait dire qu'on se dirige vers une énième scission (il y en a déjà beaucoup) civilisationnelle qui deviendra – comme les autres – progressivement définitive, avec séparation des lieux de vie. Le pass sanitaire, qui est une injonction sournoise à se faire vacciner participe à entériner cet effet. La différence étant que l'ampleur de cette rupture sera sans commune mesure avec les autres scissions que nous subissons déjà.

Les vaccinés ont peur. Peur de côtoyer des non-vaccinés alors même qu'ils sont censés être protégés ; ce qui incite d'autant plus les non-vaccinés à le rester. Cette peur les conduira à accepter d'autres propositions  d'augmentations (qui ne seront pas nommées ainsi, bien sûr, du moins dans un premier temps) ; biologiques dans un premier temps, cybernétiques ensuite.

La psychologie, c'est facile :

1) Il est plus aisé de persévérer dans l'erreur que de reconnaître qu'on en a commis une.

2) Si vous dites oui une première fois, vous serez plus enclin à dire oui une deuxième fois.

Et c'est ainsi que la plupart des vaccinés – ceux qui ont dit oui gaiement, et, un peu moins, mais tout de même, ceux qui y sont allés sous la contrainte ou en cédant au chantage du président – seront certainement rappelés pour des rappels, et dans quelques temps pour des choses qui n'auront en apparence rien à voir avec le vaccin contre le Covid mais qui en seront pourtant sa continuité.

En route pour du cyberpunk

cyberpunk 2077

Il n'y a rien de bien sidérant dans cette réflexion que je vous délivre. La plupart des gens sont déjà prêts pour tout cela et plus encore : ils le veulent.

Il suffit de prendre un petit détail, ô trois fois rien : le nombre de précommandes hallucinant du jeu vidéo Cyberpunk 2077. Si vous êtes de la génération Y et ultérieur, vous savez assurément de quoi il s'agit, mais pour les plus âgés qui me liraient et les rares personnes qui ignoreraient ce dont je parle : le jeu présente un monde futuriste dystopique de type cyberpunk dans lequel la technologie coexiste avec une société humaine dégénérée. (wikipedia)

Il s'agit d'un jeu vidéo très gros budget qui fut l'un des plus attendus de l'année 2020, avec 8 millions de précommandes. (Accessoirement, il fut aussi l'une des plus grosses déceptions puisque le résultat ne fut pas à la hauteur des attentes colossales, mais là n'est pas le sujet.)

Cette information peut paraître anecdotique, totalement dérisoire et hors de propos ; mais je pense que ce serait une erreur de ne pas la prendre en compte car elle traduit une fascination, et même un désir pour ce genre d'univers vers lequel nous tendons irrémédiablement. Un univers où l'homme peut effectivement acheter des prothèses pour s'augmenter, jusqu'à finir par ne pratiquement plus rien avoir d'organique, donc d'humain (mais là encore, il y a débat avant même qu'on y soit vraiment ; le sujet fascine, vous disais-je). Cela a déjà été vu dans beaucoup d'autres œuvres de fictions qu'il n'est pas utile de citer.

Encore une fois : écoutez simplement Jacques Attali.

Elon Musk et d'autres bonhommes du même acabit bossent déjà dessus. Sa pensée se recoupe parfaitement avec celle d'Attali.

Le premier dit : « Si vous ne pouvez pas battre les machines, devenez-en une. » (source)

Le second dit : « L'histoire de l'humanité, c'est une lente traduction de l'être vivant en un objet, en un artefact. »

 L'offre est alléchante et nos gouvernements aux bottes des multinationales sauront parfaitement la faire paraître essentielle aux braves gens du peuple ; ils seront naturellement aidés dans cette démarche par une propagande médiatique et publicitaire sans commune mesure.

Nous ne sommes pas en dictature : vous êtes sûr ?

patrouille allemande Champs-Elysées

Beaucoup de gens s'alarment et crient que nous tombons visiblement en dictature ; et en réaction beaucoup d'autres raillent et ironisent sur cette affirmation qui leur semble largement exagérée.

C'est simplement que nous avons une vision obsolète des dictatures, tout obnubilés que nous sommes par la 2nd Guerre Mondiale. Les temps ont changé ; croyez-vous vraiment que nos gouvernants n'ont pas tiré certaines leçons de l'histoire ?

Il faut lire Stéphane Hessel et son court essai "Indignez-vous !" Il nous plaignait, nous qui n'avons pas connu la guerre, que nous n'avons pas d'adversité clairement identifiable ; que dans leur malheur, à lui et à ceux de sa génération, ils avaient au moins la chance de savoir contre qui ils se battaient. Leur ennemi avait un visage, un accent, un uniforme ; celui du nazisme. (Et après coup celui du communisme, qui sont les deux faces opposées d'une même pièce hideuse.)

Soyez-en conscient : une dictature, ce n'est plus le bruit des bottes. Ça, c'est surfait. On en a vu plein au cinéma et à la télé, on sait tous ce que c'est, on la reconnaîtrait en une fraction de seconde ; ce serait ridicule que de vouloir le reproduire aujourd'hui dans nos contrées bien informées.

Une bonne dictature, c'est une dictature qui ne dit pas son nom ; une dictature qu'on peut défendre comme n'en étant pas une ; une dictature qui, plutôt que d'envoyer l'armée dans les rues, se contente de liguer une partie du peuple pour qu'elle en surveille une autre. De son propre chef. Avec le sentiment de défendre une noble cause. Tous les tyrans ont toujours affirmé défendre une noble cause ; il n'y a que dans les livres et les films pour enfants (et parfois même pour adulte, ce qui est honteux) que les méchants font le mal pour le mal, ou pour régner sur un charnier.

Une bonne dictature, c'est une dictature qui peut se permettre de ne pas poser sa démission et de continuer à gouverner pour tout le peuple en étant portée par seulement 3% du corps électoral.

Aujourd'hui, nous sommes dans une dictature du mépris. qui se contente d'ignorer la colère du peuple en balayant toute contestation d'un revers de la main avec cette formule que dans leur bouche je ne supporte plus, le fameux : « j'assume » qu'on peut traduire par : « je vous emmerde. »

La grogne populaire, pour la gérer, il suffit de la tourner en ridicule avec le renfort des médias, de l'insulter, de la traiter des pires choses puis d'attendre que, d'elle-même, elle finisse par s'excuser, par se justifier, par douter, car personne n'aime être insulté ni moqué. Je me souviendrai toujours des ces tristes panneaux qui ont fleuris passée la 4e semaine des gilets jaunes : « fachés mais pas fachos » – à ce moment, ils avaient déjà perdu puisqu'il n'était alors plus question de revendiquer mais de se faire pardonner d'avoir été insultés.

Que les électeurs, écœurés par les insultes, les humiliations et la désacralisation manifeste du pouvoir finissent par se détourner de la politique, ça aussi je suis aujourd'hui convaincu que cela fait partie d'une stratégie, puisque dans cas de figure, plus rien n'est opposé à nos gouvernants que des partis politiques fantoches qui, une fois les caméras coupées, sont tous bras-dessus, bras-dessous.

Notre président, dont je tairai le nom parce qu'il n'est qu'un pantin remplaçable à merci, et ne vaut donc pas la peine qu'on se focalise sur lui, se propose ni plus ni moins que d'ostraciser une partie de la population sur la base d'un état de santé supposé. Ceux qui  s'aviseraient de frauder le pass sanitaire s'exposent à des sanctions d'une lourdeur sidérante : une amende à 5 chiffres et de la prison. Des criminels et des délinquants multicondamnés s'en sortent pour moins que ça ! J'espère que vous vous rendez bien compte de la violence inouïe de ce chantage.

Au Moyen-Âge, on mettait à l'écart les lépreux pour ne pas avoir à les fréquenter (1); c'était des maladies de peau excessivement graves et bien visibles ; pas une simple quinte de toux avec un peu de fièvre.

Une telle peine, à une telle échelle et pour un prétexte sanitaire aussi dérisoire, cela n'a, à ma connaissance, jamais été fait dans toute l'histoire de l'humanité.

Vaccination obligatoire : « il dit qu'il voit pas le problème. »

vaccination obligatoire

Avant de poursuivre, je vais d'ores et déjà répondre à l'opposition que certains me feraient inévitablement. Et ce faisant, nous allons, vous et moi, partir très loin dans le futur, jusqu'au bout de l'idée, jusqu'au bout du complot supposé, qui risque fort de devenir, mais je ne le souhaite pas, une réalité.

Car après tout, pourriez-vous me demander, ces prothèses biologiques, mécaniques ou numériques ne sont-elles pas pour le mieux ? Ne permettraient-elles pas de répondre à bien des problèmes que nous rencontrons ? A repousser les limites des capacités humaines ?

Je répondrai simplement que n'avez pas conscience de ce dans quoi vous vous engagez.

Oui, je le reconnais très volontiers, il y aurait bien évidemment des avantages à tout ceci ; il faut bien qu'il y en ait si on veut pouvoir vous les vendre. Mais ces avantages – cosmétiques ou utilitaires – il se pourrait bien qu'ils soient dérisoires face aux contraintes qui, elles, seront tues.

L'adage dit : les problèmes d'aujourd'hui sont le résultat des solutions aux problèmes d'hier.

Quels peuvent être les problèmes alors ?

Vous serez asservis à des technologies sur lesquelles vous n'aurez plus aucun contrôle. Vous vous dirigez vers un monde régi par des techniciens sans spiritualité pour lesquels l'homme n'est qu'un assemblage de données génétiques manipulables et corvéables. Vous serez sous leur emprise et ne pourrez plus vous en défaire puisque le fardeau sera en vous ; il fera partie de vous.

Un rappel de vaccin en appelle un autre ; car après tout le virus est mutable, n'est-ce pas ? (déjà plus de 20 variants !)

Que sont les rappels sinon des mises à jour d'un logiciel qui sans cela devient défaillant ?

Vous serez cette machine sujette à l'obsolescence programmée, avec ces particules injectées dans vos veines ou implantées dans votre chair.

Vous serez cette matière interchangeable, jetable, périssable. Vous l'êtes déjà, nous le sommes tous. Au naturel, ça s'appelle simplement vieillir. Mais quand on est soumis à des produits pharmaceutiques ou technologiques, c'est autre chose. Le but est qu'une fois que vous serez entré dans le programme (ou plutôt que le vaccin sera entré en vous), vous ne puissiez plus faire machine arrière.

 Il ne reste plus qu'à vous rendre totalement dépendant en faisant en sorte que vos meilleurs alliés, à savoir vos anticorps (naturels et gratuits, ce qui n'arrange pas un labo qui veut vendre), ne puissent plus faire le travail seuls face aux virus ; virus qui peuvent eux aussi être manipulés et renforcés en laboratoire. (Bon, ça, c'est du complotisme pur jus, je reconnais.)

N'empêche : le virus organique est analogue à ceux qui infectent les ordinateurs et les font bugger. Mais cette fois, la machine, ce sera vous. Il ne vous restera plus qu'à choisir votre antivirus – c'est à dire le laboratoire et les vaccins auxquels vous allez accorder votre argent (sous forme d'impôts, dans un premier temps, pour que la note puisse passer inaperçu comme actuellement puisqu'un vaccin gratuit c'est en fait un vaccin déjà payé par nous tous – et puis ensuite il y aura des mises à jour/vaccins/implants pour les riches et d'autres pour les pauvres, comme d'habitude), et auxquels vous accorderez, ce faisant, une emprise sur votre corps, et in fine, sur votre esprit.

Le Covid n'est pas l'ennemi

August Friedrich Schenck - Angoisse (1878)

August Friedrich Schenck - Angoisse (1878)

On nous disait : « ce n'est qu'une petite grippe. » Ce n'en était pas une, la première vague en avril 2020 état effectivement féroce. Beaucoup on gardé le mauvais souvenir, pour ne pas dire pire, de suffocations, d'une sensation d'étouffement terrible. Seulement, il semble qu'il en aille de la pandémie comme du Grand-Remplacement, que selon l'endroit où on se trouve, on peut avoir le nez dedans ou passer totalement à côté.

De plus, le virus évolue. Et il se trouve que celui-ci a évolué pour ne pas tuer trop vite son hôte puisqu'il en a besoin pour survivre ; en conséquence, le fameux variant Delta, dont on fait si grand cas, il se pourrait bien, celui-là, qu'il ne soit effectivement « qu'une petite grippe ».

Seulement le mal a été fait. On a crié que le loup n'y était pas quand il était là (1) ; maintenant qu'il n'y est plus on veut nous enfermer.

On peut y voir des erreurs dramatiques de communication ; j'y vois une stratégie de manipulation à grande échelle. Une stratégie qui vise à nous faire perdre tous nos repères, à nous insécuriser en nous faisant tourner en bourrique pour mieux nous dominer.

Je vais l'affirmer ici brièvement, mais l'assertion qui suit mériterait une étude a elle toute seule : le confinement a moins servi à nous protéger qu'à nous affaiblir.

Priver le peuple de soleil et d'exercice est le meilleur moyen de le plonger dans l'apathie et la déprime afin de mieux le soumettre.

Oh, je sais, certains d'entrevous, chers lecteurs, ne manqueront pas de trouver cela aberrant et digne d'un type qui ferait bien de lâcher son clavier et d'aller prendre l'air à la montagne, pour dire le moins.

Mais permettez-moi de vous poser une question annexe, voulez-vous ? Combien de cachets prenez-vous déjà pour dormir, pour lutter contre la déprime, pour vous soigner des petits coups de mou du quotidien ?

Ne serait-il pas plus pratique d'avoir une puce qui stimule directement les zones de votre cerveau qui puissent vous rendre joyeux, satisfait, serein ; et par conséquent : dociles ?

Et puis ça n'empêchera pas de prendre des cachets pour calmer les céphalées, pour sûr.

La France est une grosse consommatrice d'antidépresseurs, c'est un fait connu, et c'est encore pire ailleurs. Et la prise des médicaments divers, anxiolytiques et autres n'a fait qu'augmenter avec la crise du Covid. On remarque, en outre, une hausse de la prise des médicaments liés au diabète et au système cardiovasculaire.

Accrochez-vous bien, ce qui suit est important parce que c'est du concret, de l'avéré, du vérifiable, comme dirait l'autre :

Le mal-être et le nombre de personnes ayant des pensées suicidaires s'est largement accru dans tous les pays ayant pratiqué le confinement, chez les jeunes comme chez les anciens. (1, 2, 3, 4) Et je ne vous parle même pas des tout petits qui accusent carrément une perte irrémédiable de capacités cognitives, physiques et sociales à force d'être isolés et réduit à l'inactivité. (1, 2)

Confinement : les capacités physiques et intellectuelles des enfants diminuées, selon une étude menée en Auvergne

A coup sûr, on emploiera plus tard des formules telles que « génération Covid » pour parler de cette jeunesse qui aura grandi avec des masques sur le nez, en restant principalement cloîtrée à la maison, sans pouvoir développer ses muscles, son tonus, ses capacités sociales, à un âge où on ne demande pourtant qu'à jouer dehors avec les copains. Ça vous paraît dérisoire ? C'est monumental. Cela jouera inévitablement sur notre futur ; et pas en bien.

Les dégâts sont considérables. Les véritables causes sont les mesures prises pour lutter face au Covid. Seule la première vague méritait – éventuellement – un tel traitement ; tout le reste n'est qu'affabulation, règne de la terreur entretenu par les médias puis relayé par les citoyens eux-mêmes une fois qu'ils en ont été gorgé, car la psyché humaine est ainsi faite qu'on s'habitue à tout. C'est sa force autant que sa faiblesse.

A force de nous parler de lui tous les jours, tout le temps, sur tous les plateaux, à la radio, sur les affichages des panneaux d'autoroutes, sur les affiches des boutiques, tout a été fait pour donner au Covid une emprise dramatique sur nos vies, même quand on ne l'a pas subi frontalement, de telle sorte qu'il aura suffit d'un an pour qu'il nous devienne difficile d'imaginer un monde sans lui ; pas même le monde d'avant, juste le monde de maintenant sans plus de coronavirus.

Vous me dites : vaccine-toi, bougre d'âne, et tu verras qu'on n'en parlera plus.

Je vous dis : même vaccinés on en parlera encore, on ne vous lâchera plus. Le système d'asservissement qui est en train d'être mis en place est trop bon ; et c'est parce qu'il est si bon que ceux qui en perçoivent les rouages passent si aisément pour fous ou farfelus alors même que tant d'éléments sont disponibles, éclatants, même pas cachés, sous nos yeux.

Ce n'est pas le Covid qui a plongé les employés, petits patrons et étudiants dans une détresse folle ; ce sont les mesures prises pour lutter contre lui.
Macron – je vais au moins une fois écrire son nom – celui-là même qui nous disait avec suffisance qu'il suffit de traverser la rue pour trouver du travail est celui qui nous a empêché de le faire. Il nous a interdit de sortir, menace de le reproduire. Mais souviens-toi, président, quand les gens n'ont plus de pain mais seulement la rage au ventre, c'est là que les veuves sont de sortie ; et je ne parle pas d'épouses éplorées mais bien d'une belle invention française. Ceci n'est qu'un rappel historique ; à toi qui disais « qu'il n'y pas de culture Française », tu aurais mieux fait de l'étudier, tu saurais alors que 1789 fut précédée de mauvaises récoltes en 1788.

Pour toutes les difficultés futures rencontrées, liées de près ou de loin au Covid et à ses multiples et fort pratiques variants, on accusera les gens qui ne sont pas fait vaccinés d'être la cause de la perpétuation des contraintes sanitaires, alors que le but est dès le départ de ne plus en sortir. (1)

Une simple preuve, là, tout de suite : un amendement, proposé par Emmanuelle Ménard, qui stipule de mettre fin au « pass sanitaire » une fois la pandémie terminée vient d'être rejeté. (source)

Vous ne voyez toujours pas l'intention qui se dessine ? vous en voulez encore ?
Le député Joachim Son-Forget propose un amendement pour exclure du pass sanitaire « tous les lieux d'exercice de la démocratie » – donc les bureaux de vote. Amendement rejeté. Les personnes qui n'auront pas reçu le vaccin se retrouvent de facto exclues de l'exercice démocratique.

Là encore, je vous propose une petite prévision : l'interdiction d'accès aux bureaux de votes des personnes préservées du vaccin servira à justifier la mise en place du vote par correspondance, celui-là même réclamé par Bayrou, qui autorise des fraudes de plus grande ampleur, plus difficile à déceler et à contrecarrer, exactement ce dont Macron a besoin pour être réelu.

="amendement

Le cas très inspirant de la Chine

pass sanitaire crédit social chinois

D'ailleurs, vous savez, ces idiots de complotistes qui suspectaient que le coronavirus puisse être sorti d'un laboratoire Chinois et pas du cul d'un pangolin, eh bien toutes les pistes tendent à confirmer qu'ils avaient raison. Il fallait avoir un zeste de culture géopolitique pour comprendre que si cette piste a été si longuement écartée, ce n'était pas une question de conspiration, mais de diplomatie. On n'accuse pas une puissance nucléaire à la légère ; on n'accuse pas un suspect sans preuve, même si le rouge qui tache sa chemise n'est certainement pas du ketchup.

Mais vouloir se focaliser sur un seul et unique responsable est trop facile et trop primaire. Si Xi Jinping a assurément joué un rôle dans cette mascarade du Covid, il ne l'a certainement pas fait seul, lui qui participe depuis peu au forum de Davos où se retrouvent les puissants de ce monde.

Vous savez très bien ce qui se passe en Chine : une dictature numérique extrêmement bien ficelée, avec bataillons de caméras et reconnaissance faciale à tous les coins de rue. Les Chinois sont astreints à un système de crédit social très poussé visant à donner des avantages aux bons citoyens et à retirer des droits aux mauvais citoyens. Inutile de dire que les Chinois qui trouvent ce système abusif, aliénant, inhumain, ne font pas partie des "bons citoyens".

Et vous imaginez vraiment que nos gouvernants ne bavent pas d'envie face à un tel système ?

C'est évident : le pass sanitaire, incluants des données fort indiscrètes (puisque médicales) et poussant les citoyens à se contrôler les uns les autres n'en que le préliminaire pour instaurer un système équivalent.

Je remarque en outre la même disparité d'opinion à ce sujet parmi les Chinois : certains s'en insurgent, trouvent cela déshumanisant, tyrannique, avilissant, ils militent, s'exilent, se font emprisonner ; et d'autres… ne voient pas où est le problème, et estiment que si on n'a rien à se reprocher alors il n'y a pas de quoi s'en inquiéter.

Pareil qu'en France, pareil qu'en Italie, qui subissent à peu près les mêmes problèmes que nous avec "il famoso" green pass, et pareil que dans tous les pays où s'ébauche la mise en place d'une ségrégation sanitaire.

Certains des vaccinés qui veulent aller en vacances à la Baule traitent tous les non-vaccinés d'égoïstes à force de croire le chantage du président qui menace de confiner encore, tandis que les non-vaccinés, et certains vaccinés à contre-cœur, sous la contrainte et la menace de se faire licencier, perçoivent nettement l'offensive contre la liberté de tous.

C'est ensemble, tous ensemble, tout le peuple qui, cette fois, doit se liguer pour sa liberté et contre la dictature sanitaire.

De vous à moi

Ah, je sais, ce n'est pas facile, c'est un discours un peu bizarre et un peu anxiogène que je vous tiens là (un petit cognac pour faire passer votre xanax ?). Si vous étiez déjà révolté avant de lire cet article, j'espère avoir pu vous apporter quelques éléments supplémentaires pour étayer votre perception du scandale.

Et si vous étiez sceptique, je gage que vous ne manquerez pas de reconnaître que la projection de départ, toute farfelue qu'elle ait pu vous paraître, se base sur des éléments bien concrets qui devraient suffire à eux seuls pour vous scandaliser.

Faites donc cet exercice : essayer de vous départir des analyses toutes faites qu'on vous sert partout, y compris de la mienne ; farfouillez, cherchez, prenez tous les éléments isolément, un par un, assemblez-les comme vous le feriez d'un vitrail, et voyez ce que vous obtenez. La mémoire est faillible et sélective, et les informations trop abondantes ; refaites le parcours en sens inverse ; remontez la chronologie des événements, des annonces, des décisions prises ; faites-le honnêtement, et je vous assure que vous serez bien en mesure de percuter à quel point nos gouvernants nous prennent vraiment pour des cons tout en jouant eux-mêmes aux cons pour mieux nous berner.

Je tiens seulement à signaler, s'il vous prenait l'envie de pinailler sur un point ou sur l'autre, que cet article, qui risque déjà d'être quelque peu indigeste, pourrait se renforcer d'encore bien d'autres éléments. Si je voulais être parfaitement exhaustif, et vous présenter l'entièreté des arguments qui me font me positionner contre ce vaccin ARN qu'on veut nous imposer de force au moyen du pass sanitaire, en nous menaçant de nous punir pratiquement comme des criminels, il me faudrait écrire un roman. D'autres, plus qualifiés, s'en chargeront, je n'en doute pas. Je vais donc m'arrêter là.

Cet article sera inévitablement catalogué comme complotiste ; je le sais bien, et comme disent nos ministres pour mieux éluder les questions fâcheuses qu'on pourrait leur faire : j'assume tout.

Je vous rappelle simplement à votre mémoire que – quand il est solide sur ses appuis et ne soutient pas la théorie de la terre plate – le complotiste, comme on l'a vu en de nombreuses occasions depuis 2020 (et même avant sur d'autres sujets) est simplement un type attentif qui observe, écoute, compare, conclue et a, en général, pour principal tort d'avoir raison trop tôt.

Conclusion

David contre Goliath

David contre Goliath, par Gebhard Fugel

La nature est bien faite.
Notre corps, malgré ses défauts, est notre meilleur allié ; et s'il y en a bien un qui met tout en œuvre pour nous conserver en parfaite santé, c'est lui. Après avoir passé des siècles à l'étudier, nous commençons à peine à le comprendre, à faire connaissance avec lui pour que chacun, même sans instruction scientifique, puisse intégrer de bonnes habitudes de vie qui nous conserveront l'énergie et la santé même l'âge venant. De l'exercice, du plein air, de la nourriture saine et de l'eau pur, des relations humaines et de la tendresse de ceux qu'on aime et qui nous aiment ; voilà de quoi nous avons véritablement besoin aujourd'hui.

De cet exercice prévisionnel que je vous ai proposé ; de cette description d'un futur éventuel qui peut survenir à partir des éléments actuellement en place, mon souhait le plus cher est que rien de tout cela n'arrive et que nos destinées embrassent une tout autre direction, loin du joug des laboratoires qui ne sont plus que des machines à pognon et de nos gouvernants qui en sont les principaux VRP. La révolte est nécessaire ; à ma modeste mesure, j'y participe ; nous sommes si nombreux à le faire, cela fait chaud au cœur. Battons-nous encore, tant qu'il le faudra.

Et sachons nous remettre en question lorsque nos moyens d'action s'avèrent inopérants (les gilets jaunes ont marché pendant près de 2 ans sur les boulevards pour un résultat presque nul). Le pouvoir Jacobin se moque de nous voir défiler en province, aussi nombreux que nous soyons puisqu'il peut faire mentir ses médias et transformer 100 000 manifestants issus de tout horizons, avec des revendications claires et bien exprimées, en 100 pécores grossiers avec des pancartes de mauvais goût. Tel est le pouvoir de la médiacratie et de la dictature du mépris.

L'ennemi est puissant, mais son agitation, son empressement et ses maladresses sont les signes de sa défaillance : il panique.

Nous n'avons pas besoin des délires médicamenteux et post-humanistes de quelque gourou en mal de sport et de soleil ; nous avons simplement besoin qu'on nous foute la paix.

Ah, mais suis-je bête ! ils n'ont eu de cesse que de nous empêcher de nous soigner face à l'épidémie quand elle était dangereuse ; ils veulent nous vacciner de force maintenant qu'elle ne l'est plus. Par conséquent, nous n'avons pas besoin d'un vaccin qui prétend faire, pour une minable maladie dont on peut se soigner au doliprane (j'en atteste !), ce que nos anticorps font déjà à merveille, et qui risquerait même d'en perturber les effets. Soigner oui, transformer non. Nous vacciner avec ce même vaccin expérimental dont Dupond-Moretti avait, dans un premier temps, voulu préserver les détenus de prisons qui lui sont si chers, arguant, « qu'ils ne sont pas des cobayes. » (source)

Nous, citoyens honnêtes et droits, sommes plus mal traités que des criminels.

Et nous sommes menacés d'un nouveau confinement qui nous plongera encore une fois dans l'ombre ; à tourner en rond comme un lion rendu fou par la cage ; à voir nos muscles mollir et notre volonté défaillir à force de désœuvrement ou d'être affalés sur le canapé face à netflix.

Oui, nous affaiblir pour mieux nous vendre leur camelote transhumaniste.

La question qu'il faut vous poser maintenant est celle-ci : en admettant que vous en veniez à des conclusions égales ou approchantes des miennes, allez-vous de toutes vos forces refuser ce monde qu'on veut vous imposer, cette utopie des puissants, pour défendre votre intégrité physique et votre liberté à disposer de votre corps comme vous l'entendez ? allez-vous lutter pour que cesse enfin cette sinistre mascarade ? où allez-vous laisser entrouverte cette porte, et laisser le monstre y glisser le pied pour entrer dans vos vies à tout jamais ?

le 21 juillet 2021 par TellurixTellurix



Allez plus loin :
Lettre d'information à l'attention des sénatrices et sénateurs, par Jean-François Lesgards
Nicolas Faure : Mes arguments contre le passe sanitaire et la vaccination générale
Laurent Ozon : Vaccinez-vous Mais...