Journal de France

Paroles libres de français

Renaud Camus et le Grand Remplacement : constat d'une réalité qui défie l'idéologie

Renaud Camus à Plieux

On entend encore dire, ici et là, que le Grand Remplacement n'est qu'une théorie complotiste, l'invention fumeuse d'un écrivain halluciné. Qu'en est-il vraiment ? et qui est Renaud Camus, l'homme à la source de cette formulation ?

Avant d'agir en politique avec, entre autres, le parti de l'In-nocence, Renaud Camus est un écrivain ; un homme de lettres ayant écrit plus d'une centaine d'ouvrages. Ce nombre est important : il signifie que le livre "le Grand Remplacement", tant décrié, ne représente qu'une infime portion de son travail.

C'est sans doute grâce à sa longue expérience d'auteur, et parce qu'il maîtrise si bien les mots, qu'il a su choisir cette appellation si juste pour un phénomène que, nous, occidentaux (principalement, mais pas que), subissons en silence, sinon dans l'aveuglement : le funeste et fameux Grand Remplacement.
Le Grand Remplacement, soit la substitution d'un peuple par un autre, par poussée migratoire et démographique – où plus précisément la submersion de l'Europe par l'Afrique – n'est pas qu'une question de pigmentation. Car avec les individus viennent leurs croyances, leurs coutumes, leurs mœurs.

Et c'est ainsi que le peuple qui fit l'éloge de la galanterie voit venir en masse des individus qui pratiquent l'excision. C'est ainsi qu'une civilisation imprégnée de christianisme – faisant l'éloge du dénuement, de l'humilité, du don de soi, de l'amour de Jésus-Christ et de sa mère Marie –, voit l'islamisme s'installer sur ses terres ; ce dogme répugnant qui réduit les femmes en objets et les hommes en esclaves soumis, perpétuellement effrayés par un dieu punitif, vindicatif et belliqueux. Un dieu qui a donc tous les défauts d'un homme né à l'époque de Mahomet : mysogine, intolérant et autoritaire.

galanterie française excision africaine

À chaque attentat commis au nom de l'islam par un musulman – qu'il soit croyant de longue date ou fraîchement converti (basané, noir ou blanc, peu importe) –, tous les autres (ceux qui ne sont pas encore passés à l'action) crient en cœur que « ce n'est pas ça l'islam », que d'ailleurs il est écrit dans le Coran que « quiconque tuerait une personne [...] sur la terre, c'est comme s'il avait tué tous les hommes. »
Sauf que cet extrait de verset est systématiquement tronqué et incomplet.

Le verset 5.32 du Coran dit en réalité ceci :
C'est pourquoi Nous avons prescrit pour les Enfants d'Israël que quiconque tuerait une personne non coupable d'un meurtre ou d'une corruption sur la terre, c'est comme s'il avait tué tous les hommes. Et quiconque lui fait don de la vie, c'est comme s'il faisait don de la vie à tous les hommes. En effet Nos messagers sont venus à eux avec les preuves. Et puis voilà, qu'en dépit de cela, beaucoup d'entre eux se mettent à commettre des excès sur la terre.

Il est directement suivi par les versets 5.33 et 5.34 qui disent ceci :
33. La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s'efforcent de semer la corruption sur la terre, c'est qu'ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu'ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l'ignominie ici-bas; et dans l'au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment,
34. excepté ceux qui se sont repentis avant de tomber en votre pouvoir: sachez qu'alors, Allah est Pardonneur et Miséricordieux.

Je vous laisse vous imprégner de ces écrits et vous faire votre opinion. Nul doute, qu'il s'en trouvera encore beaucoup pour les excuser et tenter au maximum d'arrondir les angles.
Ce que j'en conclue, moi, c'est qu'en premier lieu l'islam autorise et approuve la peine de mort, qu'est considéré comme corrupteur tout individu qui s'oppose à l'islam, que croire en autre chose que l'islamisme (Jésus-Christ, Abraham, Bouddha ou le Grand Manitou...) est perçu par eux comme une corruption, et donc que tous ceux qui ne se soumettent pas à l'islam seront exterminés ou convertis de force, du plus humble chrétien d'Orient (le massacre est bien entamé) jusqu'à l'inuit sur sa banquise. (lisez ici :le sort réservé aux mécréants ou aux musulmans qui osent remettre en question le dogme)

Le Grand Remplacement, c'est aussi la mise à mort de notre histoire et de notre culture. Il ne peut exister que par notre oubli consenti de notre propre grandeur, de nos propres croyances, et de notre envie de perpétuer cet héritage ; c'est, je crois, ce que Renaud Camus appelle "Le Petit Remplacement" – sans lequel le Grand ne serait pas possible, puisque nous aurions encore pleinement conscience de ce que nous avons de beau à préserver, de notre valeur et de notre force, et donc que nous ne tiendrions pas la porte ouverte au tout venant ; surtout quand ce tout venant est aussi mortifère.

Dans les banlieues où il ne fait bon se promener, ni tard le soir ni même en plein jour, cela fait longtemps qu'on ne trouve plus de skinhead à croix gammée, mais plutôt des maghrébins, nigérians, érythréens, afghans, turcs ou congolais, et autres racailles – à 99% musulmanes (pourcentage donné à la louche mais sans doute beaucoup trop proche de la vérité) – que l'Afrique déverse sur nous.
Le Grand Remplacement n'est en aucun cas une théorie complotiste : c'est un nom sur un phénomène réel et reconnu ouvertement par de plus en plus de nos politiques – eux qui nous disent que le Grand Remplacement n'existe pas, mais que le métissage, c'est formidable ; que la société change, et qu'il faut s'y faire.
Donc, la société change. Pourquoi ? comment ? Elle ne vogue pas au hasard sans qu'on puisse rien y faire ; au contraire, elle prend justement la direction voulue et imposée par nos gouvernants. (lire Philippe de Villiers : J'ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu)

Le seul tort de Renaud Camus est de nous prévenir. Plutôt que de haïr cet homme qui a voyagé, qui a vu et vécu, nous devrions le remercier pour avoir permis de nommer le mal qui s'abat sur l'Occident. Tuer le messager ne résoudra pas le problème ; nous sommes bannis de nos propres terres par les adorateurs de rien, d'Allah ou de Mahomet. Car dans les fameux territoires perdus de la République, dont il ne reste plus qu'à officialiser la sécession, on ne trouve pas d'italiens, de polonais, de descendants de réfugiés espagnols ou arméniens, mais bel et bien des africains, des maghrébins et des orientaux. Qu'ils soient blancs, basanés ou noirs n'y change rien et compte fort peu en réalité (mais il y a tout de même une incidence, comme nous le verrons plus bas). Ce qui compte, c'est leur culture, leur comportement, leurs gestes, leur histoire et leur croyance. Et force est de constater qu'ils haïssent la France au-delà de toute raison en même temps que de mépriser, non seulement son peuple, mais la pigmentation blanche, au point de vouloir massacrer les bébés dans les crèches (cf : Nick Conrad) – les bébés blancs, précisai-je.

Albert Camus lettre à Jean Grenier grand remplacement

« L'islam est-il soluble dans la démocratie ? Pauvres dindons bien plumés ! Que vous faut-il encore pour comprendre que votre démocratie se dissout irrésistiblement dans l'Islam ? » disait Maurice Dantec, qui était alors raillé par l'intelligentsia parisienne.

Et là encore, ce n'est qu'une citation piochée entre celles de Bossuet, Montesquieu, Condorcet, Schopenhauer, Tocqueville, Churchill... Tous nous ont mis en garde contre l'islam.

Hitler ne s'y trompait pas, lui qui trouvait la chrétienté trop molle, et aurait mille fois préféré que ses soldats fussent musulmans. Je vous laisse chercher, ça ne vous fera pas de mal.

Au fait, vous pensiez que le problème est purement franco-français, à cause du passé colonial de notre pays ?
Les suédois n'ont colonisé personne, ils sont ouverts, accueillants (trop), désarmés. Et voici comment un rappeur noir de Suède appelle à tuer les blancs et à prendre leurs femmes 1.

Ce n'est qu'un seul exemple parmi des milliers d'autres. Des cas individuels qui s'ajoutent à des cas individuels, des déséquilibrés qui s'ajoutent à des déséquilibrés ; qui font des morts, des crimes, des meurtres, des viols, des attentats et de la haine – haine bien réelle, concrète, palpable – plus que ne l'est la terrible mais imaginaire (pour l'instant – le contraire serait légitime) haine d'extrême-droite qui se tient pourtant très sagement à sa place électoral de second rang ; tandis qu'entre temps, les listes musulmanes prolifèrent aussi vite que la pourriture sur un fruit trop mûr (ici encore un exemple "individuel" (sic) de liste musulmane à Toulouse – ils ne seront certes pas élus mais ils s'installent dans le paysage, ils se normalisent, ils se dédiabolisent ; ils font en fait concrètement ce qui est reproché uniquement au Rassemblement National.

Je vous ai parlé des viols de masse en Angleterre, à Telford et Rotherham, entre autres ? où des centaines de fillettes anglaises et blanches furent réduites en sac à foutre par des pakistanais et où tout le monde s'est tu pour "ne pas stigmatiser les minorités" ? Voilà, maintenant je vous en ai parlé.

Les Grooming Gang : La Vérité sur les viols de Telford et Rotherham – par SofZilog Charleen Downes victime des Gromming Gang pakistanais en Angleterre

Vous trouvez que c'est raciste de faire autant référence à la couleur de peau ? Mais eux ne s'en privent pas (voir Maryse Duhamel, Houria Bouteldja, Rokhaya Diallo ou encore la LDNA – et tout cela n'est qu'un minuscule florilège) et ne voient que par ce prisme. Seuls les blancs se l'interdisent. Et ce faisant, ils se privent d'un élément crucial de réflexion et de positionnement.
Tenez, vous savez qui n'a pas supporté l'élection d'une miss au teint foncé en 2019 ? Non, non, ce n'est pas la France, c'est l'Algérie ; pays où la négrophobie est largement répandue et assumée. (ne soyez pas feignant et allez voir cet article : Miss Algérie 2019)

L'Algérie serait d'ailleurs le pays le plus raciste du monde. Sans doute des vieux relents de plus d'un millénaire de pratique de l'esclavagisme. Hé oui, c'est bien beau de critiquer les blancs occidentaux à ce sujet, mais eux au moins on fait leur mea culpa, en plus d'être la première civilisation du monde à avoir aboli officiellement cette pratique. On dit merci qui ? Merci Victor Schœlcher.

Pourquoi les noirs reprochent-ils aussi facilement l'esclavagisme aux blancs et pas aux arabes ? C'est sans doute parce que les arabes avaient coutume de castrer leurs esclaves noirs, s'épargnant ainsi de voir grandir une descendance revancharde. Pas de descendance, donc pas de mémoire du crime.
Les blancs auraient-ils dû s'en inspirer ? La question – provocante et odieuse, j'en conviens – se pose, tant tous les malheurs du monde sont reprochés aux occidentaux qui pourtant n'en finissent pas de se répandre en excuses, jusqu'à tomber dans une volonté d'expiation suicidaire, et tant les arabes, qui ne sont jamais excusés de rien, sont laissés tranquilles.

Beaucoup d'ignares viennent interpeller Renaud Camus en le renvoyant à Albert et en se lamentant que l'un existe quand l'autre est mort, et d'y avoir perdu au change. Ces individus, je veux qu'ils lisent cet extrait datant de 1958 : lettre d'Albert Camus à son mentor Jean Grenier.

Albert Camus lettre à Jean Grenier grand remplacement

Aujourd'hui, ceux qui dénoncent le Grand Remplacement sont traités de racistes et de fascistes par une armée d'individus suintants, eux, d'une haine bien réelle autant que d'une folie prégnante (pas pour rien qu'on dit régulièrement que « le gauchisme est une maladie mentale »). Ce qui ne les empêche pas de se dire progressistes, humanistes ou mondialistes. Ils se rangent à gauche, chez les socialistes ou les communistes, mais aussi à droite chez les républicains. Et tous de vomir les Renaud Camus, les Éric Zemmour, les Zineb El Rhazoui ou les Laurent Obertone qu'ils préféreraient certainement voir tabassés à mort.

Ces traîtres crient au nazisme dès que quelqu'un ouvre la bouche sur l'immigration et l'islam : mais détournent les yeux quand les juifs doivent fuir les banlieues, poussés dehors par des racailles musulmanes tellement biberonnées à l'antisémitisme qu'elles en adorent Hitler plus sûrement qu'aucun "facho" estampillé d'extrême-droite. (en territoire musulman, Mein Kampf est un best-seller indémodable)
Et les mêmes donneurs de leçon pleureront lorsque raisonnera l'appel du muezzin (qui retentit déjà à Amsterdam, capitale des Pays-Bas). Mais alors, il sera trop tard pour tout le monde, y compris pour ceux qui ne voulaient pas en arriver là.

Les églises brûlent. Elles n'en finissent pas d'être vandalisés, profanées ou détruites. L'écrivain Maurice Dantec le dénonçait déjà en 2005, mais il parlait alors du Kosovo ; c'était lointain, depuis c'est venu jusqu'à nous. Des quartiers voir même des villes nous sont dépossédés, les mosquées poussent comme des champignons vénéneux (7000 en 40 ans), les attentats à la voiture ou au camion bélier se succèdent partout en Europe. Que vous faudra-t-il pour admettre que des gens que vous classez de façon péremptoire à l'extrême-droite ont simplement les yeux ouverts pour voir ce qui se passe sous nos fenêtres et dans nos rues ?

La mort s'abat sur l'Europe et elle porte la couleur verte de l'islamisme, de l'islam – peu importe comment vous l'appellerez.

L'islam est une conquête perpétuelle. Il est écrit dans le Coran que les musulmans ne connaîtront pas le paradis tant qu'il restera un incroyant sur terre. Et vous croyez que vous vivrez en paix avec ça ?
Vous êtes fous.

Au fait, savez-vous pourquoi les musulmans ne boivent pas d'alcool ? Parce que Mahomet le leur a interdit à la veille d'une bataille ; pour que ses hommes soient frais et dispos le lendemain afin de se battre et gagner. Cette tradition a depuis été conservée.
La conclusion est alors sans appel : L'islam est une religion de guerre, même en temps de paix.

Vous croyez que l'islamisme a apporté quoi que ce soit à notre culture ? Mais tous leurs apports ne sont que vols et prises de guerre. Le zéro est hindou, les mathématiques sont grecques et chinoises, l'astronomie est chaldéenne puis mésopotamienne. Systématiquement, l'islam ne fait que s'accaparer ces trouvailles pour ensuite les revendiquer en son nom (voir cet article Les mots “arabes” dans la langue française, vestiges de routes commerciales du passé et véhicules d’intentions conquérantes du présent).
Allez, soyons gentil. Je reconnais que depuis que les musulmans s'installent en France, on a deux choses supplémentaires que nous n'avions pas avant : la tour Eiffel entourée d'une barrière de verre et des blocs de bétons devant les grandes places pour empêcher les attaques à la voiture bélier.

tour eiffel barrière anti terrosite

Retenez bien les enseignements de l'histoire : la culture arabo-musulmane est génocidaire par nature, elle phagocyte absolument toutes les contrées et tous les peuples sur son passage. « Les frontières de l'islam sont sanglantes » disait Hutington.
Les berbères en savent quelque chose, les chrétiens du Liban aussi, les byzantins n'en savent plus rien, ils sont morts ; les espagnols ont dû se battre pour leur liberté, les côtes italiennes ont encaissé plus que leur dose d'assauts pirates du Maghreb...

Partout dans le monde, les musulmans se rendent insupportables. Alors non, le problème n'est certainement pas que français, que occidental ou que blanc. Les hindous ne les supportent plus, les chinois n'en veulent pas, et même les bouddhistes n'en peuvent plus. Vous pleurez pour les rohingyas, mais les rohingyas ne sont pas des anges, loin s'en faut.

Ashin Wirathu moine bouddhiste birman

Mais la meilleure définition de l'islamisme est encore cette phrase du président Mustafa Kemal Atatürk. Il en savait quelque chose, il s'est battu pour rendre sa gloire à son pays et instaurer la laïcité en Turquie en s'inspirant précisément de ce qu'avaient fait les Français avec la Révolution.
« L'Islam, cette théologie absurde d'un Bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies. »

Mustafa Kemal Atatürk citation islam cadavre putréfié

Et comme je suis gentil, je vous colle une autre citation d'un Ferhat Meheni, un chanteur algérien, parce que le mahométisme, c'est encore ceux qui ont vécu dans des pays musulmans qui en parlent le mieux.

ferhat meheni islam islamisme

Question bête : pourquoi adorons-nous nos révolutionnaires qui ont décapité les curés, et sommes-nous sceptiques face à ceux, nombreux et issus de toutes cultures, qui nous mettent en garde contre les imams ? N'y aurait-il pas dissonance cognitive, comme on dit ? Je pense que si cette religion profite de tant d'égards, c'est uniquement parce qu'elle n'est pas du terroir.
On en revient encore aux méfaits du Petit Remplacement ; l'oubli et la détestation de soi qui nous fait adorer tout ce qui nous est étranger, le meilleur confondu avec le pire.

Vous aurez sans doute remarqué, si cette lecture ne vous a pas terrifié et que vous êtes parvenu jusqu'ici (bravo ! – ou désolé, ça dépend de vous), que j'utilise indifféremment les mots "islam" et "islamisme". Cette distinction, qui n'existe qu'en occident, est censée séparer la foi (l'islam) de son application politique (l'islamisme). Seulement, il serait peut-être temps de se souvenir que les musulmans, eux, ne font pas cette distinction ; que dans leurs langues, cette différence n'existe pas ; et qu'en conséquence, la scission entre l'islam à la maison et l'islamisme politique n'existe pas non plus. L'un ne va pas sans l'autre. Jamais.
Cette confusion savamment entretenue n'est qu'un piège pour occidental verbeux. Car, qu'il soit politique ou non, l'islam reste quoi qu'il en soit basé sur le Coran, livre qui regorge d'imprécations en tous genres, bien plus que n'en a jamais contenu la Bible.

Peut-être, à la conclusion de cette lecture, vous dites-vous : « tu es bien gentil, mais tu viens juste de me casser le moral, et de me décrire une situation qui semble inéluctable. »
Ne soyez pas découragé. Souvenez-vous de votre grandeur. Puisez votre force dans les accomplissements de votre aïeux et dans l'histoire de votre pays. Aucun pays du monde n'est sans reproches. Voyez le bon comme le mauvais, nourrissez-vous du bon sans ignorer le mauvais. L'arbre ne peut grandir que sur des racines solides. Souvenez-vous de vos racines et chérissez-les, car c'est grâce à elles que vous pourrez grandir.
Souvenez-vous aussi que notre ennemi est misérable, faible, lâche et sournois. Ils ne paraissent forts que parce qu'ils sont agressifs et soudés, ils ne sont rentrés que parce que nos traîtres leur tiennent la porte ouverte. Mais une fois que nous déciderons enfin de la leur claquer au nez, et de jeter par la fenêtre les indésirables qui ravagent notre maison sans dignité ni respect, ils ne pourront rien faire, car ce sont des minables.
Voyez donc cette citation d'un ancien président algérien issu du FLN. Cette imprécation paraît terrifiante, mais elle dit leur impuissance. Elle dit qu'ils sont incapables de prendre la victoire par les armes, et qu'en conséquence ils comptent sur les grossesses de leurs femmes – que pourtant ils méprisent tant – pour l'obtenir ; ainsi que sur notre docilité, qui cessera un jour.

Houari Boumédiène, le ventre de nos femmes

Au Grand Remplacement démographique, précède un désarmement idéologique et spirituel des européens. Pour réussir à nous défendre, nous devons d'abord nous réarmer sur les terrains idéologique, intellectuel et culturel, avant peut-être, de nous réarmer tout court.
Quant à la conclusion de cet article, je la laisse à M. Camus ci-dessous :

Renaud Camus - rémigration

TellurixTellurix (2020-02)