Bienvenue dans la France du XXIe siècle
Macron nous l'avait promis, nous y sommes enfin ! De plain-pied dans le XXIe siècle, à admirer des églises qui brûlent comme Néron se régalait devant Rome en proie aux flammes.
Dédicace à la famille Traoré et aux ventes sauvages de T-shirts ; au mouvement BLM, qui a déjà causé plus de victimes qu'il n'en a sauvées ; aux islamistes qui s'explosent et nous avec ; aux mineurs africains isolés avec des smartphones et une barbe drue – qu'ils se rassurent, ils trouveront toujours une famille bretonne ou normande pour les accueillir – ; aux moukères éplorées qui récitent toutes le même discours face caméra – à croire que tous les anges sont des repris de justice avec un cran d'arrêt dans la poche, du shit dans la culotte et le coran dans la tête – ; aux journalistes, toujours prêts à recueillir les pleurs des crocodiles et hyènes exotiques mais jamais les larmes de la faune locale ; aux églises et aux cathédrales, qui ont traversé les siècles et les guerres mais ne résistent curieusement pas à des mégots de cigarettes – faut-il pousser la lutte contre le tabagisme pour sauver notre patrimoine ? – ; aux algériens, qui n'en peuvent plus d'avoir foutu en l'air leur pays et préfèrent baver sur la France plutôt que de reconnaître qu'ils ont merdé ; à la cause palestinienne, qui s'invite partout et surtout là où elle n'a rien à faire ; au mouvement LGBT, qui va regretter très fort la France de Gabin quand ils découvriront la France de Rachid – ça arrive très vite puisque ça a déjà commencé – ; aux gilets jaunes, qui crèveront en se justifiant d'être "fâchés mais pas fachos", tout en s'étant fait récupérer par les cocos ; à l'Union Européenne, la belle utopie devenue cauchemar, parce que fondée par d'anciens nazis qui n'ont pas été nettoyés – quoi d'étonnant à ce qu'une mauvaise graine donne un fruit pourri ? – ; au président Macron 1er, élu parce que jeune et dynamique, mais surtout parce qu'il n'avait en face de lui qu'un thatchérien avec des casseroles au cul et une poissonnière soulagée de sa défaite.
Ça y est Manu ! la France est enfin rentrée dans le XXIe siècle, comme tu l'avais promis durant ta campagne. On peut s'en aller maintenant ?